Avant de revenir chez CoDA l’an dernier, j’étais dans le déni de ma codépendance. J’étais plongée dans un profond chagrin à la suite de la perte de mon chien. Je refoulais mes émotions et les fuyais, parce que c’était trop dur à supporter.

Depuis mon retour en CoDA, j’ai appris l’importance de m’autoriser à ressentir mes émotions, j’ai appris que c’est normal de ne pas aller bien tout le temps, et même si je ne suis pas aussi rétablie que je ne le souhaiterais, je me sens bien moins seule, sachant que j’ai des gens vers qui me tourner, surtout quand je commence à partir en vrille.
Ma Puissance Supérieure m’a même menée jusqu’à une Réunion CoDA spécifiquement réservée aux femmes, aux personnes s’identifiant comme non binaires, et/ou atteintes de maladies et douleurs chroniques , ainsi qu’à leurs aidant.e.s .

Je n’avais aucune idée de l’existence d’une telle réunion, et probablement que je n’en aurais jamais entendu parler sans ma Puissance Supérieure. Je suis tombée dessus « par accident ».
Je suis éternellement reconnaissante de l’avoir trouvée et j’ai hâte de travailler les Etapes avec ces personnes fortes et courageuses qui vivent les mêmes luttes que moi au quotidien.
Shani C.
Traduit de l’original publié sur coda.org- CoDA France– 2025- Crédit Photos Pexels



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