Je me voyais comme le guérisseur qui les comblerait d’amour jusqu’à ce qu’elles trouvent la plénitude. Mais derrière tout ceci se cachait une douloureuse vérité : j’étais incapable de m’aimer tant que je n’étais pas en train de sauver quelqu’un d’autre.
Ma vie était devenue un tourbillon de sauvetages émotionnels – et chaque fois que la relation s’écroulait, je sombrais dans l’auto-apitoiement et la confusion. La réalité ? Je n’étais ni bienveillant ni noble. J’étais controlant et accro au besoin de me sentir utile.