Trop souvent, j’ai lutté pour accomplir mes tâches dans la perfection, même en sachant que la perfection est impossible. Je me concentrais sur la nécessité d’un produit issu d’un travail parfait, oubliant qu’un produit « assez bon » est suffisamment bon. Un produit moins parfait peut s’avérer adéquat. Il s’agit de progrès, pas de perfection.